Les Sabres Grisés
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Forum de l'équipage des Sabres Grisés pour le jeu World Of Warcraft (WOW). Vous pouvez accéder à notre site web en cliquant sur la section la Cabine des co-capitaines, ensuite c'est le tout premier post. Bon vent ! (vive Thalassa ;op)
 
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 la vie d'une keri

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4 participants
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Keridwen




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MessageSujet: la vie d'une keri   la vie d'une keri EmptyMar 27 Fév - 15:47

bon comme tacos et belore, je publie la life de Keri. Avant de commencer, je vous suggère d'imprimer car c'est assez long. Bonne chance!

Le vent rugissait en la contrée de Lordaeron. Il faisait un temps maussade comme toujours à cette époque de l’année. Il était tard et le vent faisant vibrer les fenêtres de la chambre effrayait la jeune fille. En effet, cette dernière avait environ une dizaine d’années et venait de lire une légende racontant que le vent pouvait amener avec lui des morts-vivants et autres créatures de cauchemar. Elle aurait voulu aller se réfugier dans le lit de ses parents mais elle n’osa pas en pensant que ces derniers allaient sûrement se moquer d’elle. De plus, le lendemain, elle avait classe donc il valait mieux qu’elle dorme le plus vite possible pour pouvoir se réveiller en forme. Finalement, elle s’endormit après avoir angoissé pendant deux heures. Comme elle devait s’y attendre, elle se réveilla au matin avec des poches si grandes sous les yeux que sa mère lui demanda :

-« eh bien, Keridwen, tu as l’air fatiguée ce matin, tu n’es pas malade j’espère ? »
-« non non, ça va »marmonna la fillette d’une voix morne
-« va donc prendre ton petit déjeuner en vitesse et coiffe toi les cheveux. Tu as l’air d’un épouvantail, on dirait que tu t’es battue avec une armée de gobelins cette nuit ».

La petite n’avait pas faim ce matin là mais se força à avaler quelques gâteaux secs car elle avait encore en tête un souvenir du gargouillement de son ventre pendant la classe accompagné du rire des autres élèves. Ensuite, elle alla se coiffer devant le petit miroir de sa chambre. Keridwen Ni Braonhian était une fillette que l’on pouvait facilement qualifier de jolie avec ses longs cheveux blond vénitien, ses grands yeux bleus expressifs et ses traits fins et réguliers. Mais pourtant ce matin là, elle avait vraiment l’air d’un épouvantail et passa plus d’un quart d’heure à démêler ses cheveux en bataille quand son père l’appela :
-« Keridwen ! vas-tu venir ?! il faut y aller maintenant ! presse toi ! grouillos ! »

L’expression « grouillos » était un mot inventé par son père pour indiquer à une personne de se dépêcher et quand il l’employait, cela voulait dire qu’il était particulièrement énervé. C’est pour cela que Keridwen prit ses affaires en hâte et rejoignit son père qui devait l’accompagner, elle et ses frères Jonas et Owyn, à l’école avant d’aller travailler.

L’école de Keridwen était située en périphérie de Lordaeron et elle était fréquentée par des gens particulièrement de bonne famille.

En effet, cette année là, elle avait dans sa classe Jaina, la fille de l’amiral Daelin Proudmoore qui avait assisté à la deuxième guerre contre les orcs. Mais Keridwen n’appréciait pas tellement Jaina car déjà, cette dernière, brillante élève, avait tendance à être imbue de sa personne et à le faire ressentir aux autres.

De plus, le physique de Jaina ne plaisait pas beaucoup à la fillette. En effet, bien qu’ayant un certain charme, la fille de Daelin avait un visage long et pointu, des cheveux raides châtains clairs et des yeux globuleux mais d’un très beau bleu. La plupart des professeurs s’extasiaient devant l’intelligence de Jaina, ce qui agaçait encore plus Keridwen ; « ce n’est pas la seule à être douée, il y en à d’autres qui le sont presque autant et qui sont bien plus beaux et plus gentils qu’elle »se disait-elle.

De plus, elle avait subi une engueulade cuisante de la part de son père suite à une bagarre avec Jaina. En effet, ceci avait commencé lorsque Keridwen demanda à cette dernière de lui expliquer une leçon d’arithmancie qu’elle avait mal compris.
-« Quoi ?! Tu n’as pas compris ça ? Moi, je l’ai compris il y’a déjà une semaine » avait répondu la petite fille modèle avant de se lancer dans des explications que Keridwen ne comprit qu’à moitié.
-« Ce que tu es bête ! Bon, je laisse tomber, je n’ai pas de temps à perdre avec les débiles ! »

Après avoir entendu cela, Keridwen attrapa la gamine énervante par les cheveux et la frappa de toutes parts en la traitant de « sainte-nitouche ». Finalement, la pauvre Jaina se recroquevilla et se mit à pleurer. C’est ainsi que son père la retrouva car cet événement eut lieu à la sortie de l’école. Après avoir écouté et consolé sa fille, Daelin s’était approché du père de Keridwen et lui avait dit d’apprendre à sa fille de ne pas se comporter comme une sauvage et que même si Jaina avait eu ses torts, il avait été inacceptable de la frapper ainsi.

Aussitôt rentrée à la maison, la petite Ni Braonhian dût essuyer un cuisant savon :
« Qu’est ce que c’est que ces façons ?!! La fille de Daelin Proudmoore, en plus ! Non mais ça va pas ? Qu’est ce qui t’a pris ?! Tu as perdu la tête, ma pauvre fille…. »
Quand son père était dans cet état, Keridwen savait qu’il valait mieux ne rien dire et fila s’enfermer dans sa chambre.
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Keridwen




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MessageSujet: Re: la vie d'une keri   la vie d'une keri EmptyMar 27 Fév - 15:49

Mais, après ce jour, elle n’osa plus lever la main sur quelqu’un, ce qui la transforma en petite fille douce et calme. Dans l’ensemble, sa scolarité se passa bien mais ses professeurs étaient agacés car ils lui répétaient sans cesse que si elle était plus sérieuse, elle pourrait être une élève brillante. Or, Keridwen préférait lire et rêver dans sa chambre plutôt que d’apprendre ses leçons. Socialement, la fillette était très secrète et assez solitaire donc elle n’était pas du genre à être entourée d’une grosse bande d’amis. Cependant, quand on avait la chance de gagner son amitié, on pouvait compter sur elle. En général, elle avait une amie ou deux, pas plus.

Après avoir suivi l’apprentissage commun qui s’achevait à l’âge de vingt et un ans, Keridwen dût choisir sa voix. Plusieurs choix s’offraient à elle : elle pouvait passer le concours général lui permettant d’intégrer soit une école de magie (la plus prestigieuse étant le Kirin Tor), de paladins, de guérisseurs ou bien de militaires. Dans ce concours, les étudiants pouvaient intégrer une certaine école selon leur classement (les premiers allaient au Kirin Tor puis les suivants à l’école des paladins, ensuite il y avaient les guérisseurs et écoles de magie quelconques et les derniers allaient dans l’armée). Sinon, elle pouvait choisir la voix de l’ingénierie. Finalement, elle tenta le concours général. Ce dernier se passait après une année de préparation dans une institution spécifique et après s’être inscrite, elle reçut le parchemin suivant :

Concours général de Lordaeron



 Nombre de candidats : 5000
 Nombre de place disponibles : 2500



• Nombre de places par écoles intégrables (à partir du plus prestigieux) :

 Kirin Tor : 500, (100 par spécialité)
 Paladins : 200 (~ 10 par monastère)
 Guérisseurs : 300
 Magie : 500
 Ecole militaire : 1000

• Disciplines à passer quelquesoit l’école souhaitée :

 Arithmancie
 Géologie
 Histoire de Lordaeron
 Economie
 Magie
 Sciences humaines
 Stratégie militaire

• Responsables de chaque école :

 Kirin Tor : Amg (archimage) Antonidas
 Paladins : Msg U.Lightbringer
 Guérisseurs : Prêtresse MacDonnell
 Magie : Miss V.Windrunner
 Ecole militaire : Mr M.Bronzebeard

• Qualités à avoir pour intégrer une école (d’après les anciens élèves) :

 Travailler, travailler et encore travailler
 Ne pas dormir
 Ne pas avoir de loisirs
 Ne pas prendre de vacances
 Etre monomaniaque
 Etre compétitif
 Ne penser qu’au concours…


…Alors, BONNE CHANCE…

Keridwen était bien loin d’avoir les qualités requises citées mais elle se dit « qui ne tente rien n’a rien » et puis, elle aviserait après avoir eu ses résultats. L’année de préparation se passa tant bien que mal. Même si elle n’avait pas un rythme de travail soutenu, Keridwen dût subir une certaine pression de la part de ses parents, ce qui la fatigua énormément. C’est pour cela qu’elle manqua s’évanouir le jour des résultats de son concours.

Finalement, elle eu la chance inouïe d’être classée 680ème. Evidemment, elle n’avait aucune chance d’aller au Kirin Tor mais elle avait une place garantie à l’école des paladins, ce qui était presque aussi prestigieux ! Et comble du bonheur, Leallan, une très bonne amie d’enfance de Keridwen, y était admise elle aussi. C’est avec un hurlement de joie que la jeune fille annonça la nouvelle à sa famille qui organisa une petite fête le soir même. L’école des paladins était répartie sur plusieurs monastères du royaume et chacun d’eux accueillait environ neuf élèves. Les études étaient réparties sur quatre ans, les trois premières années étant consacrées à la théorie et la dernière année à la pratique dans le monde réel (quêtes…).

Le premier jour à l’école des paladins fût quelque peu étrange ! En effet, il n’y avait que deux filles sur neuf élèves et Keridwen reçut la liste des sujets qu’elle étudierait et certains ne lui plurent guère au premier abord : en effet, les élèves devaient apprendre le maniement des armes et acquérir un très bon niveau en la matière (pas très féminin tout ça) ; « J’aurais mieux faire de me renseigner un peu plus sur les études de paladins avant d’intégrer l’école » pensa la jeune fille.

Mais ce qui fit un plaisir fou à Keridwen était d’avoir pour professeur un illustre héros : Uther Lightbringer, le créateur de l’ordre de la Main d’Argent.

Finalement, les études intéressèrent beaucoup Keridwen, sauf peut être le maniement des armes où elle eût quelques difficultés. En fait, elle voulait plus tard se spécialiser en soins mais Uther avait lourdement insisté sur le fait qu’il ne servait à rien de savoir soigner si l’on tombait au premier coup d’épée ou de hache. En cette période, Keridwen pouvait se considérer comme une jeune fille heureuse et épanouie, ses études l’intéressaient et elle avait trouvé en Leallan, une très bonne amie. Cette dernière, fille de deux ingénieurs et très douée en armes contrairement à son amie, avait une forte personnalité et était très spécialisée dans les râgots. Un jour, elle dit à Keridwen :

-« Tu sais que cette peste de Jaina Proudmoore a intégré le Kirin tor en étant classée 3ème au concours ? »
-« Non, je ne savais pas. Mais ça ne m’étonne pas, elle ne sait que travailler de toutes façons, c’est tout ce qu’elle a dans sa vie. »
-« Détrompe toi ! Je viens aussi d’apprendre qu’elle fréquente le prince Arthas. »
-« Quoi ? J’ai envie de vomir pour Arthas. Le pauvre, avec Jaina dans les pattes, il va s’amuser. Mais après tout, je ne le connais pas, il est peut être aussi peu futé qu’elle. Enfin bref, si Jaina devient reine de Lordaeron, j’irai sûrement m’exiler !»
-« Ne t’inquiète pas trop ! De toute façon, ça m’étonnerait qu’elle dure longtemps leur histoire. Jaina va devoir étudier environ dix ans à Dalaran alors que Arthas sera obligé de rester à Lordaeron. Or, entre les deux, il y a au moins une journée de voyage donc ça m’étonnerait qu’ils puissent avoir une relation stable. Je parie que dans un an, ils se séparent. »
-« Oui, si on pouvait éviter que Jaina soit reine, ce serait mieux pour le royaume ! »
-« Ne sois pas si mauvaise langue Keri ! Il se pourrait qu’elle ait changé Jaina après toutes ces années ! On ne l’a connue qu’enfant !
-« peut-être…mais ça m’étonnerait »
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Keridwen




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MessageSujet: Re: la vie d'une keri   la vie d'une keri EmptyMar 27 Fév - 15:51

Malheureusement, cette petite vie tranquille devait bientôt prendre fin. Les ennuis commencèrent lorsque l’on déclara un début d’invasion d’orcs et de mort-vivants répandant une peste. Uther dût partir pour répondre à ces attaques, laissant au paladin Halank, le soin de poursuivre l’apprentissage des élèves. Ce dernier était très dur et avait fait pleuré deux ou trois élèves dont Leallan à force de remontrances.

Uther ne revînt que quatre mois plus tard et ce, dans une humeur massacrante. Il raconta à Halank qu’il était parti en mission avec Arthas et qu’il s’était disputé avec ce dernier à propos d’une stratégie à adopter face à l’étendue de la peste.

En effet, ils étaient arrivés à Stratholme et s’étaient aperçus que du grain contaminé avait déjà été distribué aux villageois. Arthas avait voulu employer la manière forte et tuer tous les habitants infectés alors qu’Uther voulait réfléchir calmement à un moyen d’épargner ces gens. Finalement, le prince s’était profondément énervé et avait rejeté Uther. Ce dernier avait donc décidé de rentrer et d’aller voir le roi Terenas pour l’avertir que son fils commençait à faire n’importe quoi et que ça finirait par devenir dangereux. Uther conclut en disant que le roi l’avait écouté et avait envoyé des émissaires chercher son fils.

Effectivement, quelques semaines plus tard, Arthas revînt mais pas de la façon espérée. En fait, ceci arriva lorsque Keridwen faisait tranquillement les courses avec sa famille : il y eût soudain un mouvement de foule aux alentours du palais de Lordaeron et les gens criaient que le prince était de retour. Finalement, ils décidèrent de s’approcher et virent que Arthas était effectivement en train de se pavaner dans un accoutrement bizarre. En effet, il avait une capuche et des têtes de morts étaient sculptées sur son armure, peut-être voulait-il se donner un nouveau genre comme tout gamin de bonne famille voulant se dévergonder…Mais quelques minutes après qu’il fût entré dans la salle du trône, certaines personnes se mirent à hurler que le roi venait de mourir !

Certes, Keridwen accueillit la nouvelle avec un certain choc mais se dit que d’un autre côté Terenas était vieux donc il fallait bien qu’il meure un jour ou l’autre même si elle espérait qu’il n’avait pas souffert. Elle pensa donc qu’il avait peut être fait une crise cardiaque ou quelque chose dans ce style…mais un ami de son père qui, en tant qu’ambassadeur du royaume s’était trouvé très proche de la salle du trône à ce moment là, vînt vers les Ni Braonhian et leur dit qu’en fait le roi avait été assassiné par son propre fils. Bien sûr, Keridwen avait entendu dire qu’Arthas avait un sale caractère mais de là à tuer son père…Peut être qu’il n’était pas vraiment responsable de ce qu’il venait de faire, peut-être était-il tout simplement devenu schizophrène ou avait-il subi une malédiction…

Après cela, la famille Ni Braonhian rentra immédiatement chez et après avoir entendu dire qu’une armée de mort-vivants avait envahi une bonne partie du royaume, le père décida qu’ils devaient quitter Lordaeron sur le champ. Keridwen cria qu’elle ne voulait pas partir tout de suite, elle voulait prévenir son amie Leallan et se disait que peut être l’attaque mort-vivante serait refoulée ? Malheuresement, son père avait répondu :

-« Arrête de pleurnicher Keridwen ! Il faut partir ! Nous n’avons plus de roi ! Le prince est devenu fou et une armée de morts-vivants a déjà attaqué Stratholme et sera à Lordaeron très vite ! Va chercher tes affaires immédiatement ! On part à Stormwind sur le champ ! ».

Les yeux baignés de larmes, Keridwen prépara ses affaires en hâte. Elle s’aperçut qu’elle n’était pas la seule à être dans cet état de désespoir : ses deux frère aussi semblaient pleurer en silence et sa mère avait un visage très sombre. Ils posèrent à la diable leurs affaires dans leur chariot et le père de Keridwen fit avancer les chevaux avec brutalité.

Le voyage à Stormwind ne se fit pas sans encombres. Tout d’abord, il avait fallu pouvoir sortir de Lordaeron sans se faire repérer par les troupes mort-vivantes. De plus, Owyn, le plus petit frère de Keridwen n’arrêtait pas de pleurer à cause de l’inconfort et de la pensée de son pays en voie de destruction qu’il ne reverrait probablement jamais. Finalement, les Ni Braonhian atteignirent le point d’envol des griffons de Southshore après cinq heures de voyage chaotique. C’était la première fois que Keridwen prenait ce moyen de transport…Le visage très pâle, elle s’approcha du nain qui préparait les griffons à l’envol et lui demanda d’une voix tremblante:

- « ils volent à quelle hauteur les griffons à peu près ? »
- « boah, ça dépend du lelief à tlavelser. Mais poul aller à Stolmwind, vous aulez à travelser plusieuls zones montagneuses dans les légions des steppes aldentes ou de Blacklock alols attendez vous à voler à au moins 800 mètles d’altitude.
- « mmmmmh…..d’accord ».
- « allez ma petite demoiselle, il est temps d’y aller »

Keridwen grimpa sur le griffon avec l’estomac noué en se disant que de toute façon, elle n’avait pas le choix. Lorsque le griffon prit son envol, elle sentit une montée de bile qu’elle ravala aussitôt. Elle ferma les yeux avec force et s’accrocha au griffon désespérément. Le mouvement de balancier que faisait la créature donnait la nausée à la jeune fille et elle dût se retenir de vomir pendant tout le voyage. Finalement, le griffon se décida à atterrir en manquant de peu de désarçonner la jeune fille agrippée comme un noyé.

Ce fut une Keridwen très verte qui se présenta devant sa famille qui l’attendait. Ses parents décidèrent d’aller sans tarder à une auberge pour prendre une collation. Keridwen s’affola rien qu’à l’idée de manger car son estomac était encore endolori par le voyage. Finalement, à son grand soulagement, elle put avaler la moitié de son assiette sans avoir envie de tout rendre et après le repas, la famille se dirigea au centre d’accueil des voyageurs de Stormwind afin de trouver un logement.

Finalement, ils trouvèrent une petite maison à la périphérie de la ville. Elle ne payait pas de mine mais il était très ardu pour les autorités de Stormwind de loger tous ces rescapés donc il valait mieux ne pas faire les difficiles. Après une semaine, Keridwen reçut une lettre provenant de son école de paladins lui annonçant qu’elle devrait poursuivre ses études à l’abbaye de Northshire. Cette lettre lui annonçait qu’elle commencerait son apprentissage pratique auprès du maréchal MacBride avec vingt autres élèves. En temps normal, lors de la dernière année de paladinat, on devait avoir un maître pour soi tout seul mais les récents événements faisaient que ce n’était plus possible. C’est avec un pincement au cœur que Keridwen lut la liste des élèves qui feraient son apprentissage avec elle car elle n’en connaissait aucun.
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Keridwen




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MessageSujet: Re: la vie d'une keri   la vie d'une keri EmptyMar 27 Fév - 15:52

Deux jours plus tard, c’est avec appréhension qu’elle se dirigea vers Northshire en vue de commencer son épreuve pratique. En effet, la malheureuse arriva déjà avec une demi-heure de retard car elle se perdit dans la fôret d’Elwynn. Bien sûr, lorsqu’elle se présenta à l’abbaye, toutes les têtes se tournèrent vers elle et le maréchal lui dit d’aller s’asseoir d’un air agacé… « ça commence bien, je me fais remarquer dés le premier jour…en plus il a pas l’air commode ce maréchal… » se dit-elle. Macbride expliqua à ses nouveaux élèves que leurs premières épreuves étaient d’aller tuer plusieurs types de kobolds et de rapporter des objets trouvés sur ces mêmes créatures. :

« Je suppose que la plupart d’entre vous n’ont jamais tué de leur vie. C’est pourquoi vous commencerez à vous entraîner sur des créatures insignifiantes telles que les kobolds. Si déjà vous ressentez de la crainte ou de la tristesse en les tuant, vous pouvez tout de suite changer de métier. Quand j’estimerai que vous aurez rempli cette mission de façon satisfaisante, je vous enverrai attaquer des ennemis plus importants comme les gnolls ou les bandits défias. Sachez aussi qu’il faudra vous débrouiller seuls, je ne veux pas former des assistés ! vous pouvez partir tout de suite. ».

Les élèves s’exécutèrent et sortirent de l’abbaye. Certains d’entre eux se connaissaient déjà et partirent ensemble tandis que d’autres, indépendants et solitaires, s’en allèrent de leur côté. Ainsi, Keridwen se retrouva vite seule et perdue. Elle passa déjà un temps considérable pour trouver les kobolds, car elle s’était perdue à plusieurs reprises. Ensuite, elle s’affola à l’idée d’aller les tuer car elle ne trouvait pas ces créatures si insignifiantes que ça : c’était quand même des humanoïdes avec une intelligence et une âme.

Après un long moment d’hésitation et de panique, elle se décida à s’approcher des kobolds car il était bientôt temps de rentrer et de faire le rapport à MacBride. Elle rajusta donc sa masse et frappa un kobold à la tête. La bête rugit, ce qui effraya Keridwen, et lui mordit la jambe. La jeune fille paniqua et enchaîna une série de mouvements incontrôlés avec sa masse. Quand enfin, elle se calma, elle s’aperçut que le kobold était mort. Elle le fouilla frénétiquement et alla s’affaler sur un arbre pour reprendre ses esprits.

Elle devait en tuer encore une dizaine pour apporter un butin significatif à MacBride. « allez, courage Keri, tu n’as pas fait toutes ces études pour rien… Tue ces kobolds puisqu’on te le demande ! » pensa t-elle avec force. Finalement, après avoir tué tant bien que mal cette dizaine de kobold, elle revînt auprès du maréchal qui lui dit :
« Vu l’heure à laquelle vous arrivez, ça a dû être assez poussif. Il va falloir apprendre à travailler plus vite. Allez donc prendre une collation, cet après midi, je vous entraînerai au maniement de la masse. »

L’après midi fût un desastre pour Keridwen. Lorsqu’elle vît le niveau de certains élèves au maniement des armes, elle s’affola en se disant qu’elle ne serait jamais à la hauteur. Lorsque enfin, le maréchal l’appela, elle s’avança en tremblant.
-« oh ! c’est pas vrai ! mais comment tenez-vous cette arme ma pauvre fille !?
Je n’arrive même pas à distinguer si vous êtes droitière ou gauchère. Où avez-vous commencé vos études ? »
- « à Lordaeron. »
- « où ça à Lordaeron, dans le postérieur d’une vache ? »
Les élèves éclatèrent de rire…ce qui n’arrangea guère le malaise de Keridwen.
-« euh non… à l’abbaye de la capitale »
-« et qui était votre professeur d’arme ? »
-« Uther Lightbringer »
-« ah oui, bien sûr ! Paix à son âme ! cétait un grand ami. Mais le pauvre à dû piquer des crises à rallonge avec une élève comme vous, non ? »
Il y eut une nouvelle salve d’éclats de rire de la part des élèves. Keridwen était si bouleversée qu’elle n’osa rien répondre. Il est vrai qu’elle n’avait jamais été très douée aux armes mais elle aurait voulu dire qu’Uther au moins était compréhensif et que les entraînements avec lui s’étaient dans l’ensemble bien passés. Mais apparemment, le maréchal exigeait de ses élèves un niveau bien supérieur à celui qu’ils avaient normalement en fin de troisième année.
-« bon, on refait un essai. Essayez de m’attaquer de face en tenant votre masse comme je vous l’ai montré »
Keridwen exécuta un mouvement qu’elle pensa être une attaque correcte quand le maréchal s’exclama :
-« bon, allez vous asseoir, j’abandonne. »

C’est avec soulagement que la jeune fille entendit le maréchal annoncer que le travail de la journée était terminé. Déprimée et exténuée, elle arriva enfin chez elle. D’emblée, lui laissant même pas le temps de souffler, ses parents lui demandèrent :
-« alors, comment s’est passée ta journée ? »
-« pas trop mal »
-« mais encore ? raconte nous un peu »
-« tout a l’heure »
-« tu es sûre que ça s’est bien passé ? »
-« mais oui ! »
Sur ce, elle s’enferma dans sa chambre ? Elle n’avait absolument pas envie de parler de sa désastreuse journée. Et sa famille qui lui tombait dessus avec leurs questions alors que tout ce qu’elle voulait, c’était d’être seule. Elle s’allongea sur son lit et fondit en larmes. Quelques minutes plus tard, Owyn fit irruption dans sa chambre. Keridwen saisit un livre et se cacha derrière pour empêcher son frère de voir ses larmes et s’exclama :
-« qu’est ce que tu veux !? »
-« on doit aller manger. »
-« d’accord, j’arrive »
-« au fait, pourquoi tu lis à l’envers ? »
Dans sa précipitation à cacher des larmes, Keridwen avait placé le livre devant elle à l’envers.
-« laisse tomber. Tu peux sortir maintenant, j’ai dit que j’arrivais ! »
-« bon d’accord, madame la boudeuse »

Et il sortit en claquant la porte. Soulagée, elle alla vérifier dans le miroir que ses yeux n’étaient pas trop rouges pour être sûre que sa famille ne s’apercevrait pas de son chagrin. En effet, Keridwen détestait pleurer devant les gens. Comme elle s’y attendait, dés qu’elle se présenta, ses parents la re-questionnèrent à propos de sa journée. Sans aucun signe avant-coureur, une nouvelle crise de larmes s’empara de la jeune fille. Désemparée, elle enfouit son visage dans ses mains. Sa mère lui demanda d’une voix douce :

-« oh ! pourquoi tu pleures ? »
Keridwen étaient trop étouffée par ses larmes pour répondre. Son frère Jonas intervînt en ricanant :
-« elle s’est peut être fait engueuler… »
-« ça suffit Jonas ! Keridwen, ma chérie, essaie de manger un peu. On parlera de tout ça quand tu seras reposée. »
Keridwen remercia intérieurement sa mère de lui laisser un répit. Finalement, cette derniere vînt voir sa fille au moment où elle était sur le point de se coucher.
-« Alors Keridwen, que s’est-il passé aujourd’hui ? »

Le fait d’être enfin seule avec sa mère délia la langue de la jeune fille. En effet, c’était la seule personne de sa famille avec qui elle partageait ses sentiments. Son père travaillait trop pour prêter attention à ses enfants et elle ne considérait pas les oreilles de ses frères comme compréhensives. Elle raconta donc tout à sa mère : le fait de tuer pour la première fois et la répugnance engendrée par cet acte, la dureté du maréchal MacBride, la froideur des autres élèves, ses amis de Lordaeron qui lui manquaient…
Sa mère la rassura en lui disant qu’elle s’habituerait, qu’en temps de guerre, il valait mieux être entrainé par des gens à caractère ; que la vie en cette époque avait un prix et puis qu’après tout, le maréchal MacBride ne serait pas son seul maître et qu’elle finirait par trouver des amis….

Soulagée d’avoir parlé, Keridwen s’endormit. Les journées qui suivirent furent du même acabit que la première mais elle finit par s’habituer aux remontrances de Mac bride et à la « bande de crétins » qui suivaient les leçons avec elle. Mais elle restait une jeune fille plutôt malheureuse car au bout de plusieurs semaines, elle était toujours très seule. Bien sûr, parfois elle trouvait des gens pour l’aider dans ses différentes missions mais les contacts n’allaient pas plus loin. Autrement, son maniement des armes s’améliora sensiblement et, à son grand étonnement, le maréchal MacBride en fît l’éloge ; « la pérsévérance, ça paye toujours » pensa t-elle non sans sourire.
-« Bon maintenant, vous êtes de taille à aller tuer dans les régions arides de l’ouest avec certains de vos camarades »
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Keridwen




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MessageSujet: Re: la vie d'une keri   la vie d'une keri EmptyMar 27 Fév - 15:55

Par conséquent, Keridwen se rendit dans un lieu appelé « les marches de l’ouest » mais sans les camarades en question ; « je préfère y aller seule plutôt qu’avec cette bande de nazes » pensait la jeune fille. En effet, elle n’avait trouvé aucun ami parmi les élèves qui suivaient le même apprentissage qu’elle.

Cependant, à son grand désespoir, elle dût s’y rendre en griffon car la route était bien trop longue à pieds. Le souvenir de son premier voyage de Southshore à Stormwind était encore cuisant. Finalement, elle arriva à destination plus ou moins malade mais dans un état nettement meilleur que lors de son arrivée à Stormwind. Sa tâche consistait à tuer des brigands défias : c’était une tâche assez ardue surtout que ces bandits avaient le bras long. C’est pourquoi ce fût une période très difficile pour Keridwen qui dût la majorité du temps se débrouiller toute seule car ses compatriotes en cette région étaient hostiles à toute aide éventuelle.

C’est ainsi qu’elle lutta contre les défias pendant de longues semaines et finit cette mission exténuée et malade. C’est pourquoi elle dût garder le lit pendant douze jours, selon le guérisseur de sa famille, avant de pouvoir poursuivre ses études.

Après cela, le maréchal Macbride offrit un choix de mission à Keridwen : elle pouvait aller soit dans une région aussi chaude que les marches de l’ouest appelée les carmines soit au Loch Modan dans le nord. La jeune fille, qui avait suffisamment pâti de la chaleur, choisit le Loch. Mais ce choix ne fut pas sans conséquences : le Loch Modan étant à plus d’une journée de voyage de Stormwind, Keridwen dût quitter sa famille et s’installer dans le coin. Finalement, elle choisit d’habiter la cité naine et souterraine d’Ironforge pendant un temps. Bien qu’elle n’appréciait pas beaucoup cette ville à cause d’une certaine tendance à la claustrophobie, elle ne put s’empêcher d’admirer l’habileté des nains pour son architecture.

De plus, elle trouvait les gens de la région plus amicaux qu’à Stormwind. En effet, lorsqu’elle partit en mission pour son nouveau maître, elle croisa sur sa route une jeune femme solitaire qui lui proposa spontanément son aide. Or, Keridwen n’avait pas l’habitude de cela ! c’est pourquoi elle demanda :

-Vous voulez vraiment m’aider ? Vous êtes sûre que vous ne voulez rien en échange ?
-Non, je suis une prêtresse et mon plaisir est d’aider les gens.
Après avoir passé plusieurs heures avec cette jeune prêtresse, Keridwen lui dit, non sans reconnaissance :
-Je vous remercie beaucoup. Mon travail s’est fait deux fois plus vite que si j’avais été seule. Je me présente, je m’appelle Keridwen, je suis de Lordaeron et je suis novice en paladinat.
-Il n’y a pas de quoi, douce amie. Je suis Soélyne, prêtresse solitaire.

Dés cet instant, Keridwen remarqua que Soélyne était très secrète et dans son regard bleu se lisait une indicible tristesse. Le gris de sa chevelure la faisait paraître plus vieille qu’elle n’était, mais ceci amplifiait la sagesse qui se lisait sur son visage fin. La jeune paladine trouva en Soélyne une amie mais aussi une guide. En effet, la prêtresse semblait déjà avoir eu une grande mais pas forcément heureuse expérience de la vie. C’est en sa compagnie qu’elle arpenta les régions montagneuses du Loch Modan. Après avoir fait ses rapports à son maître d’Ironforge, ce dernier l’envoya dans la région d’Arathi.


Quelques semaines plus tard, Keridwen revînt prendre du repos chez ses parents à Stormwind. Un matin, réveillée par une lueur du jour qui avait pénétré dans sa chambre, la jeune fille irritée, s’habilla en toute hâte et se précipita à la porte de chez elle car Soélyne devait arriver d’un moment à l’autre.

En effet, les deux amies avaient prévu de partir ensemble au nord, dans les régions d’Uldaman. Or, Soélyne ne se présenta pas de la journée. Keridwen, dépitée, décida donc d’envoyer une lettre à son amie pour la prévenir qu’elle avait oublié leur rendez-vous et qu’elle l’attendrait pendant une semaine. Malheureusement, la prêtresse ne se présenta pas plus les jours suivants et Keridwen dut se rendre à l’évidence : soit Soélyne ne voulait plus la voir soit il lui était arrivé quelquechose.

Ainsi, déprimée, Keridwen fît son paquetage et partit dans le sud. Les terres arides d’Uldaman ne convenaient pas du tout à la jeune fille, le soleil brûlant sa peau claire et la chaleur déshydratant son organisme.

C’est pourquoi elle dût s’accorder de nombreuses pauses où elle passait la plupart du temps à souffrir des coups de soleil et bien sûr de la solitude. Mais, un jour, alors qu’elle tuait les aigles d’Uldaman pour récupérer leurs plumes, elle fit la rencontre d’un jeune paladin qui lui proposa courtoisement son aide. Ce dernier, qu’on appelait Atelios, était un homme grand et musclé avec d’épais cheveux noirs et des yeux d’un vert perçant. Atelios appartenait à une famille nombreuse et disait avec humour qu’il était le plus beau de sa fratrie. Il avait eu une enfance plutôt heureuse et semblait très équilibré.

Keridwen sut tout de suite que cet homme deviendrait son ami. En effet, leur facilité de conversation, le fait que chacun devinait presque ce que pensait l’autre ne laissaient aucun doute possible : une amitié commençait à naître. C’est ainsi que les deux jeunes gens effectuèrent la plupart de leur travail ensemble tout en se racontant leur histoire respective.

Mais un jour, la paladine, à cause de la déshydratation causée par l’aridité de la région, tomba sérieusement malade et dut se mettre en repos pendant trois semaines. Elle revînt donc chez ses parents à Stormwind, un peu agacée car elle était triste de quitter si vite Atelios et commençait vraiment à prendre goût à son métier de paladin. Lorsqu’elle fut guérie, son maître l’envoya dans les Hinterlands car il fallait mettre fin à des attaques trolls. Toutefois, Keridwen ne retrouva pas Atelios à ce moment là car le paladin avait décidé lui aussi de prendre du repos pour des raisons que la jeune fille avait du mal à définir. Mais tout ce qu’elle savait, c’est que dans la dernière lettre que son ami lui avait écrite, ce dernier semblait malheureux. Par conséquent, Keridwen se retrouva seule à nouveau et se dit qu’il serait peut être temps de ne plus jamais en arriver là !

Or, elle avait entendu parler de regroupements de personnes qui s’associaient pour la vie et ainsi effectuaient leur travail ensemble. Ces associations pouvaient se faire en fonction d’un centre d’intérêt particulier ou par rapport à un mode de vie.

En effet, dans certaines d’entre elles, on retrouvait des gens de même métier alors que dans d’autres, ils vivaient comme des pirates. C’est dans ce dernier type de regroupement que Keridwen se retrouva, en partie parce que Soélyne s’y trouvait aussi. Celui-ci s’appelait les « sabres grisés » et était un équipage d’une cinquantaine de membres. Outre le fait qu’elle ait le mal de mer, Keridwen se sentit bien en compagnie de ces joyeux pirates et décida d’intégrer leur groupe à long terme.

C’est pourquoi après avoir été acceptée par les deux co-capitaines elfiques Nijmaâ et Ellyriana, elle invita tout l’équipage à l’auberge de Bruuk d’Ironforge, pour fêter son arrivée. La soirée débuta en fanfare mais Ellyriana était absente. Nijmaâ, une grande elfe déguingandée aux cheveux bleus nuit et à la peau sombre dansait sur la table et semblait tituber quelque peu.

C’est pourquoi elle se retira assez vite de la soirée en disant que sa filleule, une voleuse du nom de Tacite allait la remplacer. Une jeune fille bronzée aux cheveux décolorés fit son entrée dans la pièce. Keridwen se demanda « qu’est ce que c’est que ce genre ? elle sort d’où celle là ? » et avait l’impression qu’elle ne s’entendrait pas du tout avec ce type de fille qui ressemblait à une écervelée.

Mais quelques instants plus tard, elle s’aperçut qu’elle avait été idiote de juger ainsi sur les apparences, car il lui sembla que cette voleuse était une jeune fille vive et amusante. Ainsi, lorsque la soirée s’acheva et que Keridwen eut vidé son estomac pour évacuer tout l’alcool qu’elle avait ingurgité, elle proposa à Tacite de partir avec elle dans les terres foudroyées. A la grande joie de la paladine, la voleuse accepta.
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Belore

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MessageSujet: Re: la vie d'une keri   la vie d'une keri EmptyMar 27 Fév - 18:20

[HRP] J'adore ! Very Happy Tout concorde avec l'histoire et la guerre, on retrouve les références au présent... !

Y'a juste peut-être les expressions comme "En effet," qu'on retrouve un peu trop souvent, à la fin elles sautent aux yeux. :p

Mais enfin, avec ton histoire et celle de Tacite, je commence à cerner précisément ce qu'il s'est passé avant mon arrivée. Acor !
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Ellyriana
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MessageSujet: Re: la vie d'une keri   la vie d'une keri EmptyMar 27 Fév - 18:20

[HRP]

J'ai pas tout fini, mais tu es folle Kiri Razz
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bhalin

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MessageSujet: Re: la vie d'une keri   la vie d'une keri EmptyJeu 8 Mar - 23:01

Ben tout ca pour ca^^
la vie d'une keri qui tombe s'est ou?
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Keridwen




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MessageSujet: Re: la vie d'une keri   la vie d'une keri EmptyVen 9 Mar - 12:16

ça va venir grosse bhaline, ça va venir^^
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MessageSujet: Re: la vie d'une keri   la vie d'une keri Empty

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